Attentat à Paris: L’équipe ADN compatit aux douleurs des victimes…

Après une longue nuit meurtrière pour de nombreux parisiens: plus de 120 morts, 200 blessés graves…Paris se réveille horrifiée ce samedi matin.

En tout, six attaques quasi simultanées ont été menées vendredi soir dans autant de sites, principalement dans les 10e et 11e arrondissement. Huit assaillants sont morts, dont sept en se faisant exploser. Les attaques ont touché la salle de concert du Bataclan, plusieurs rues de l’est parisien, et près du Stade de France.

Pour la diaspora malgache parisienne les réseaux sociaux notamment facebook ont été un moyen depuis la nuit à ce matin de connaître le sort de leurs amis car bon nombre d’entre eux avaient leurs amis ou famille en balade dans Paris et au stade de France. Nous espérons que de ce côté là tout le monde va bien.
L’Equipe Madaplus présente ses sincères condoléances aux victimes de ces attaques terroristes.
N.R. (In Madaplus.info)

L’Equipe de l’ADN compatit aux douleurs des victimes, leurs familles et leurs amis. Notons que la majorité de nos compatriotes en France sont à Paris et l’Ile de France.

Edgard Razafindravahy / CEERE: Une rencontre jeune, sincère et dynamique

Les jeunes du CEERE ou Club des Etudiants Entrepreneurs du rendez-vous de l’Entreprenariat ont été reçu par Edgard Razafindravahy ce jeudi 12 novembre 2015.
La rencontre s’est axée sur le monde de l’entreprenariat à travers lequel le PDG du groupe Prey a parlé de son parcours professionnel marqué par des hauts et des bas en tant qu’industriel.
Trois étudiants ont partagé leur projet respectif s’agissant de la commercialisation du sel, d’un courtage en bourse et d’une construction d’un parking à étage. Edgard Razafindravahy n’a pas hésité à donner des conseils et orientations tout en promettant aide et soutien dans la réalisation de leur projet.
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Le partage d’expérience, une des raisons de la venue du Club des Etudiants Entrepreneurs, hier à l’enceinte SITRAM Ankorondrano. « La rencontre a été très fructifiant. Par ailleurs, ce qui m’a le plus marqué c’est le parcours d’Edgard Razafindravahy en général. Je n’arrive pas à croire qu’il est passé par beaucoup de choses avant d’arriver à ce stade là. Quand il nous a parlé de ses échecs en 2005 et sa volonté de se rattraper quelques années plus tard, je trouve que c’est un homme courageux qui a l’esprit de manager en lui. En gros, c’est un exemple pour nous les futurs entrepreneurs » a affirmé un jeune membre du Club. La sincérité et l’ouverture de Zoky Edgard ont encouragé ces jeunes à le revoir.
Après quelques heures d’échange, les deux parties se sont retrouvées autour d’une table pour prendre un pot. La rencontre s’est déroulée dans une ambiance jeune, sincère, conviviale et dynamique. Un échange suivi d’une visite des sociétés du Groupe Prey à Ankorondrano : la RTA (Radio Television Analamanga), la Radio Tana et la RFM… Les jeunes ont profité de prendre des photos sur les plateaux des émissions télévisées de la RTA à l’exemple de l’émission matinale « CLIC ».

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Edgard Razafindravahy à la rencontre des populations de l’Est

La partie orientale de Madagascar est bien connue du chef de file de l’ADN (Antoka sy Dinan’ny Nosy ou Arche de la Nation) qui y a passé une bonne partie de sa jeunesse. Cette terre est chère à son cœur et il a tenu à y revenir pour apporter son soutien à une population qui se trouve de plus en plus démunie.

Un tableau sombre. De Mora­manga à Antsampanana, en passant par Sahamatevina, Ambodivoananto, Ilaka- Est, Niarovana Caroline, Betsi­zaraina, Ambodiarina, Ampasamadinika, Ranofotsy, de Vatomandry à Mahanoro, le tableau est sombre. Les gens pleurent leurs revenus qui ne cessent de baisser, leur terre accaparée. Trois mille personnes sont concernées par le problème foncier à Antanam­bao Mahatsara, et faute de lumière, la ville est morte. Il n’y aucune possibilité de développer quoi que ce soit, sans parler de l’insécurité.
Dans toutes les communes visitées par l’ADN la semaine dernière, le problème de l’électricité est récurrent. À Ilaka-Est, une commune pourtant pilote, la dernière électrification datait de la Première République, selon les habitants. Tout comme à Antsampanana, ou à Betsi­zaraina, une commune dans le district de Mahanoro où la Jirama et l’État brillent par leur absence, laissant des localités entières dans l’obscurité pendant des décennies.

De l’espoir
Brickaville

Edgard Razafindravahy ne croit plus, tout comme les gens de l’Est, à la venue des autorités pour apporter de la lumière à ces populations. Et si par hasard celles-ci sont là, c’est pour apporter une solution empoisonnée comme l’utilisation des groupes électrogènes qui fonctionnent avec du gasoil, alors que Madagas­car n’en produit pas une seule goutte, sans oublier ses méfaits sur l’environnement.
Seule solution : « élaborons nous-mêmes les politiques qui correspondront au développement que nous voulons pour les localités où nous vivons ».
Dans cette région riche en ressources, où l’eau est présente, la terre cultivable, la faune et la flore riches, le soleil, le vent, la population souffre. Comme les habitants de la plupart des régions de l’île, pourtant, elle est oubliée des autorités, et les politiciens ne lui rendent visite que lors des périodes électorales pour obtenir son vote.
« Je vous tends la main », leur a alors dit Edgard Razafindravahy. « Je n’attends pas qu’en échange vous me donniez votre voix. Nous ne sommes pas en période électorale. Je suis ici parce que j’ai des expériences à partager avec vous », poursuit-il. Il explique sa volonté de sortir cette population de sa pauvreté: « la solution est là, il suffit d’accepter de ne plus attendre des autres. Ayons de la volonté, levons nous, aidons-nous et le Ciel nous aidera ! » lance-t-il à cette population d’abord étonnée de cette visite.
Habituées à ne recevoir de visiteurs que lorsqu’on a besoin d’elles, et à n’obtenir que des promesses éphémères en échange de leurs bulletins, les populations semblent étonnées par l’approche de l’ADN qui vient à leur rencontre. La démarche d’Edgard Razafindravahy a toutefois été appréciée, en témoigne la liesse à laquelle la délégation du parti de l’ADN a eu droit à chaque escale.

Développement par la base
Betsizaraina

Chaque rencontre avec les populations locales fut l’occasion pour l’équipe de l’ADN de s’enquérir des réalités du terrain, mais aussi de proposer des solutions adaptées à mettre en place pour leur permettre d’améliorer leur quotidien. Comme à chaque déplacement de l’équipe de l’ADN les échanges sont riches, les gens aiment cette nouvelle écoute qui ne demande qu’à les aider.
Des solutions sur l’électrification avec les énergies renouvelables ont été évoquées, étant donné la richesse de cette région, Edgard Razafindravahy n’exclut pas d’apporter des solutions de l’extérieur qu’il explique à la population. Les routes vétustes, les récoltes qui s’annoncent difficiles à l’approche du mois de décembre, tous les grands problèmes ont été évoqués. La population de l’Est s’est confiée à cette équipe de l’ADN qui lui a promis de travailler avec elle.
Concernant l’insécurité, Edgard Razafindravahy réitère sa position en demandant au fokonolona de protéger ses biens, d’encadrer sa ville. L’utilisation d’armes lourdes par les forces de l’ordre ne fait qu’envenimer la
situation, selon Edgard Razafindravahy les armes qui circulent sont dangereuses pour tout le monde, le dahalo ou le Tontakely sont tous des fils du pays…

ADN, pour le peuple malgache
Niarovana Caroline
En trois mois d’existence, des milliers de personnes ont rejoint l’ADN, qui croit à un développement par la base, à une société égalitaire en tant que Parti Libéral Démocrate, à une politique qui répond aux aspirations de sa population. L’ADN veut apporter une autre forme de politique sans démagogie mais une volonté d’être à l’écoute du peuple.
Quand les places et les grandes salles manquent, Edgard Razafindravahy n’hésite pas à venir à la rencontre des gens, près de chez eux, faisant presque du porte-à-porte. Un geste apprécié de la population qui, pour la première fois, ne se sent pas délaissée. Dans d’autres communes, les réunions se déroulent dans les Tranompokonolona, très vétustes pour la plupart, en présence des maires, des tangalamena, des ampanjaka, et des fokonolona…
La tournée politique dans cette région de l’Est a pris fin vendredi mais les actions de l’ADN continuent sur le terrain. Tout au long de la tournée, Edgard Razafindravahy a promis une franche collaboration avec les maires et les chefs de fokontany, tous reconnaissent la difficulté de leurs tâches respectives mais sont conscients qu’on peut « être tous acteurs du développement de sa commune, de sa région » (Charte de l’ADN) pour un avenir meilleur.

Textes et photos : Annick Raherimanana

L’ADN au-delà des frontières

Edgard Razafindravahy a porté au-delà des frontières son parti politique ADN (Arche de la Nation ou Antoka sy Dinan’ny Nosy).

Après avoir parcouru plusieurs localités enclavées dans le pays, Edgard Razafindravahy est parti en Europe. Ce voyage l’a conduit à exposer les idéaux libéraux démocrates de l’ADN.

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Edgard Razafindravahy avec le porte parole du parti VENSTRE du Danemark, Michael Aastrup

Poignée de main entre Edgard Razafindravahy et la Mairesse de Copenhague, Pia ALLERSLEV

Poignée de main entre Edgard Razafindravahy et la Mairesse de Copenhague, Pia ALLERSLEV

C’est ainsi qu’il rencontre au Danemark des hauts responsables du parti VENSTRE, parti libéral démocrate au pouvoir. Durant ces entretiens fructueux le leader de l’ADN a reçu le soutien de ce parti.

Rencontre avec Ole Christesten, député européen à l’occasion du sommet ACP.

Rencontre avec Ole Christesten, député européen à l’occasion du sommet ACP.

Edgard Razafindravahy revient de ce voyage encore plus renforcé dans ses convictions libérales démocrates, à savoir la nécessité de développer le pays par la base. Un positionnement déjà plagié par des politiciens en mal d’inspiration. Mais si l’ADN peut montrer la voie…

Lancement officiel du site du parti ADN : www.adn-madagascar.com
Et plus d’infos sur sa page facebook : ADN

Article Hebdo de Madagascar du 23/10/2015

Vie de parti – L’espoir d’un vent nouveau avec l’ADN

Le déplacement qu’il a effectué en Europe du Nord ces derniers jours a été l’occasion pour Edgard Razafindravahy, leader politique du parti Arche de la Nation, de chercher des pistes de collaboration avec les grands partis politiques européens de même idéologie que l’ADN « Libérale Démocrate ».
Il a, en même temps, mis à profit ce séjour pour s’enquérir des modèles sociaux que Madagascar gagnerait à prendre en exemple dans sa quête du développement et du mieux-être de ses ressortissants.
Après des tournées nationales où il a pu se mettre à l’écoute de ses compatriotes, Edgard Razafindravahy s’est envolé pour l’Europe où il a également fait connaître l’ADN, ses principes et ses valeurs aux dirigeants et aux décideurs européens. « Nous sommes descendus dans les régions et dans de nombreuses localités de la Grande île pour nous enquérir de ce que les Malgaches vivent au quotidien. Et nous allons poursuivre ces tournées pour être toujours au plus près de la réalité. Mais il est tout aussi important de connaître ce qui se passe à l’étranger, pour nous en inspirer dans notre quête de développement et du mieux-être de la population », a expliqué le numéro Un de l’ADN.
De la Belgique au Danemark, en passant par la France et l’Allemagne, la délégation de l’ADN conduite par Edgard Razafindravahy n’a eu de cesse de chercher ce qu’il y a de mieux pour Madagascar. A Bruxelles, Belgique, il a pu demander aux parlementaires européens, en marge de la réunion des parlementaires de l’Afrique Caraïbes Pacifique et de l’Union européenne (ACP/UE), pourquoi les aides européennes en faveur de Madagascar tardent à être débloquées. Il a ensuite eu des rencontres avec de hauts responsables politiques français, allemands et danois. Ces derniers ont manifesté un réel intérêt pour les actions menées par l’ADN. Ils n’ont pas manqué de louer les engagements et la volonté du leader du parti.

Des partenaires prêts à partager leur expérience

Poignée de mains avec Pia Allerslev, Maire déléguée aux Enfants et à la Jeunesse de la Ville de Copenhague

Poignée de mains avec Pia Allerslev, Maire déléguée aux Enfants et à la Jeunesse de la Ville de Copenhague

Durant ce périple, l’idéologie politique « libérale démocrate » prônée par l’ ADN a trouvé écho auprès de ses interlocuteurs. Edgard Razafindravahy s’est attaché à démontrer sa volonté et sa détermination à trouver toutes les solutions qui viseront à améliorer la vie de ses compatriotes.
L’ADN encourage la prise de responsabilité individuelle dans le respect des règles et valeurs sociales, et dans l’optique du développement. La vision du parti pour améliorer le quotidien de chaque individu est inspirée de « l’école de la vie » danoise. Modèle reposant sur l’apprentissage de la vie en communauté, en développant la solidarité, le partage d’expérience, l’entraide…. « C’est l’objet même du pacte social auquel adhèrent les membres du parti ADN, et qu’ils vont véhiculer au sein de la société. Cela impactera, au final, sur la vie de l’ensemble du pays », indique Edgard Razafindravahy.
Ces diverses rencontres et échanges ont conduit le leader de l’Arche de la Nation à poursuivre son voyage jusqu’au Danemark. Le modèle économique de ce pays, son environnement des affaires et sa pratique de la décentralisation sont des particularités de ce pays du Nord de l’Europe qui peuvent s’inscrire dans les acquis de l’école de la vie. C’est ainsi que le leader de l’Arche de la nation a rencontré des membres du parti libéral démocrate, parti au pouvoir au Danemark. Edgard Razafindravahy a aussi été invité par la maire de Copenhague, capitale du pays. Un des points d’orgue de la visite du chef de file de l’ADN dans cet Etat nordique est son entretien avec le ministre des Affaires étrangères danois, dans le palais abritant, à la fois, le gouvernement et le Parlement.
N.R. (Article Madaplus.info)
22 September 2015 Comments are off admin

Razafindravahy suggère une formation plus professionnalisante

Edgard Razafindravahy a tenu une séance d’échange avec des étudiants, jeudi dernier. L’occasion pour l’homme politique d’entendre les problèmes des étudiants et de leur apporter tout son soutien, mais aussi d’expliquer la vision du parti ADN (Antoka sy Dinan’ny Nosy ou Arche de la Nation) sur l’enseignement supérieur.

La désillusion des jeunes. Un mal qui touche de plus en plus les étudiants à l’issue de leur cursus universitaire. Pour bon nombre d’entre eux, le rêve d’un parcours professionnel étincelant s’envole dès la sortie du banc des facultés ou des instituts, avec le peu d’offres sur le marché du travail.

Le manque de confiance en l’avenir. Les jeunes ont confié à l’équipe ADN qu’ils se sentent perdus, sans repères, sans perspective quant à leur avenir. Ils peuvent selon eux faire un Bac+1, un Deug, une licence etc., mais à la sortie, le constat est le même : peu ou pas d’emplois à la hauteur de leurs attentes et de leurs études, au point pour certains de considérer le fait de faire de grandes études comme une perte de temps.

Pour ces jeunes, faire des études représente un investissement énorme. Ils se sacrifient mais également sacrifient leurs proches pour y arriver.

Or, dans la société actuelle, cela ne leur garantit guère l’avenir qu’ils souhaitent.

Edgard Razafindravahy invite les jeunes à oser entreprendre.

Edgard Razafindravahy invite les jeunes à oser entreprendre.

L’ADN suggère une politique différente pour l’enseignement supérieur : « une formation encore plus professionnalisante ».

« Nous avons besoin de gens qualifiés, formés pour redresser le pays», avance Edgard Razafindravah. «pourtant la formation de nos jeunes en particulier ne répond pas aux besoins de notre nation, de notre population», continue t-il. Ainsi il faudrait mettre en place des offres de formation qui répondent et s’adaptent aux besoins de la base.

Ceci s’adresse à notre Enseignement supérieur, de manière générale, mais le premier conseil que donne Edgard Razafindravahy aux jeunes dans le contexte actuel, c’est de choisir sa formation en fonction des besoins et opportunités. Les étudiants se bousculent, en effet, dans des domaines saturés, alors que Madagascar manque de personnes qualifiées dans des secteurs de base comme la santé, l’éducation, etc. Il n’a pas

manqué de souligner également l’absence criante de qualification dans les entreprises, dans tout le pays.

Avoir de l’audace : entreprendre 
Le chef de file du parti ADN, en tant que « Zoky » (pour Aîné), a partagé ses expériences et son parcours avec les étudiants. « Ceux qui ne font rien n’ont rien. Au moins, si vous faites quelque chose, vous aurez une chance de réussir. (…) Chacun est responsable de ce qu’il entreprend, de ce qu’il veut faire. Il est inutile de systématiquement tenir les autres comme responsables de votre situation. (…) », soutient Edgard Razafindravahy. Une ligne de conduite qui lui a permis de se faire une place dans la société. « Il ne faut pas hésiter à entreprendre, continue t-il.

À Madagascar, tout reste à faire. » Et de citer deux secteurs porteurs à explorer : l’agriculture et le tourisme.

Les étudiants ont fait part de leurs appréhensions à leur interlocuteur.

Les étudiants ont fait part de leurs appréhensions à leur interlocuteur.

Espoir et Courage 
« Prenez votre responsabilité, prenez en main le développement de votre localité. N’attendez-pas l’État central. Il faut avoir le courage de changer de mentalité. Soyons solidaires ! » Edgard Razafindravahy s’est attaché à insuffler à cette jeunesse, l’espoir pour l’avenir car il est interdit, selon lui, de désespérer.

Point d’orgue d’une semaine chargée pour le chef de file du parti ADN et son équipe, cette rencontre a été l’occasion pour les deux parties d’échanger. Les étudiants ont eu en face d’eux des adultes attentifs à leurs soucis.

Ce moment a aussi été l’occasion d’aborder un sujet qui défraie les chroniques : les multiples grèves au sein de l’enseignement supérieur.

L’inquiétude sur un avenir incertain était palpable chez cette jeunesse qui constitue, pourtant, la relève du pays.

Les étudiants n’ont pas caché leur curiosité concernant les objectifs du parti ADN, une séance de questions-réponses conviviale s’est instaurée, durant laquelle le chef de file de l’ADN s’est prêté volontairement au jeu.

Durant cette rencontre, Edgard Razafindravahy a évoqué l’École de la vie et de la démocratie, des thèmes qui lui sont chers, une vision à long terme pour une jeunesse rigoureuse, travailleuse et forte. Une façon de clôturer cette rencontre sur une note positive dont ces jeunes ont tant besoin et le méritent.

Les jeunes ont été attentifs aux conseils avisés d’un ainé.

Les jeunes ont été attentifs aux conseils avisés d’un ainé.

26 August 2015 Comments are off admin

L’ADN redonne espoir à l’Androy

« La victoire est notre seule limite ». Cette devise du parti politique ADN fait renaître l’espoir dans cette région victime d’actes de banditisme et plongé dans le noir.

Une lumière au milieu des ténèbres. C’est ainsi que la population du Deep south a accueilli la visite d’Edgard Razafin¬dravahy, fondateur du parti Arche de la Nation (ADN). Eh oui, alors que cette région se sent abandonnée au milieu de la famine, de l’insécurité, de la pauvreté, un homme a pensé à sa population.

Oser prendre la responsabilité pour qu’ensemble nous allions vaincre. C’est la vision partagée par l’ADN dans la région d’Androy. C’était dimanche lors de la rencontre du chef de file de l’ADN, Edgard Razafindra¬vahy, et ses militants à Ambovombe-Androy. Cette philosophie a ainsi apporté une nouvelle vision pour les habitants de cette région qualifiée depuis des lustres comme une zone rouge et un berceau de la famine à Madagascar. Après les régions Vakinankaratra et Betsiboka, c’est dans l’Androy que l’ADN engage la bataille contre les maux de la société, en responsabilisant la population locale. « Il faut maintenant que nous, chaque personne, chaque village composant le fokontany et la commune, prenions en main notre avenir. Si nous attendions encore l’État central, nous serions encore déçus pour les 55 années à venir », a lancé Edgard Razafindravahy, chef de file de l’ADN.

Ce propos a été justifié par les doléances des habitants lors des différentes rencontres du chef de file de l’ADN et les habitants de la région. « Les nourritures ne manquent pas dans notre commune. Mais l’insécurité quasi-quotidienne nous empêche de travailler. Comment voulez-vous que nous puissions nourrir nos enfants après que nos moyens pour labourer la terre sont volés pas les bandits », s’insurge Julien Tsimenatse, père de famille dans la commune d’Ianabinda, district de Betroka. Pourtant, l’insécurité n’est pas la seule préoccupation des habitants de cette région. « L’électricité a été coupée depuis trois semaines. Nous sommes plongés dans le noir dans cette atmosphère d’insécurité ambiante. Les enseignants manquent également dans notre commune. Nos enfants doivent parcourir plus de 80Km pour effectuer leur examen de baccalauréat sur une route chaotique et infestés de bandits. Les centres de santé manquent aussi d’équipements et de personnel médical », se plaint Violette Randrianizafy, habitante de la commune d’Isoanala, district de Betroka.

À une soixantaine de kilomètres de cette commune, à Beraketa, les mêmes problèmes se présentent.

« Les priorités dans notre commune sont l’électricité, l’insécurité ambiante et la réhabili¬tation de la mairie », a avancé Peletin Jaotombo, futur maire de la commune de Beraketa. Dans la commune d’Anta¬nimora Sud, l’électricité, l’insécurité et l’accessibilité constituent également les premières préoccupations des habitants.

RESPONSABILISATION
Deux jours de voyage sur une route cahoteuse, braver le risque d’attaque de « dahalo », sont les obstacles à franchir pour rejoindre Ambovombe. Des épreuves qu’ont dû franchir l’équipe conduite par Edgard Razafindravahy, pour prendre connaissance des réalités locales et continuer la bataille de l’ADN. Face à toutes ces montagnes de doléances, le parti a partagé non pas des T-shirts ni des ballons, ni des maillots ni, de l’argent, mais sa philosophie et ses idées pour sortir de ce cercle infernal de la pauvreté. « L’électricité qui crée de la lumière fait partie de la première source de vie avec l’eau. Votre région a bénéficié du soleil pendant toute l’année. Si vous osez prendre votre responsabilité pour éclairer votre commune, je peux vous partager mes expériences », a promis Edgard Razafin¬dravahy.

Une annonce basée sur ses expériences acquises quand il était à la tête du Président du conseil communal d’Ambohimalaza et Président de la délégation spéciale de la commune urbaine d’Antananarivo, mais aussi de ses voyages et échanges à l’etranger. Les formules simples, basées sur des réalités locales, afin que la communauté de base puisse prendre ses responsabilités constituent ainsi la philosophie et les arguments de ce parti politique. « Pourquoi vous, la communauté, ne prenez pas en main le financement des études de vos enfants avec l’aide du parti. Dans l’avenir, vous pouriez avoir des médecins et des enseignants qualifiés qui connaissent les réalités de votre commune », propose le chef de file de l’ADN. Aussi ce parti politique ne veut plus infantiliser les communautés locales et les considerer comme un moyen pour acquérir le pouvoir central mais les considère comme le principal levier de développement du pays et mettre en place un développement durable sans plus attendre l’État au bord de la faillite. « Le phénomène de banditisme est le fruit de la pauvreté. Ces bandits font partie de notre famille. Il faut trouver une solution pour que nous ne nous entretuons plus », poursuit Edgard Razafin¬dravahy dans sa démarche.

Fulgence Mbehotrea, guide du parti politique ADN dans la commune urbaine d’Ambo¬vombe, s’apprête ainsi à mener le combat pour que la communauté locale puisse prendre en main son avenir. « Nous allons conquérir le fokontany tout d’abord pour faire tâche d’huile », promet le guide du parti politique ADN dans la com¬mune urbaine d’Ambo¬vombe. Jaona Ratefiarivony, guide du parti ADN dans la région de Betsiboka et député de Tsaratanana, a ajouté que l’union de toutes les communautés locales permet de lutter contre la pauvreté du pays.
Le parti politique ADN n’appartient pas ainsi à une seule personne. « Le parti appartient à ses membres. Ce sont ses membres qui font vivre le parti », a souligné Edgard Razafindravavy. Afin de donner une véritable indépendance entre autres économique, sociale et culturelle aux habitants, le parti politique ADN compte tout d’abord éduquer ses membres, collaborer et renforcer les guides locaux. « Le développement ne peut pas se faire s’il n’y a pas de symbiose entre sa population et ses dirigeants », a ajouté le chef de file du parti ADN.

LA FAMINE MENACE DE NOUVEAU ANDROY
Albert Ratovondrainy, président de la délégation spéciale de la commune urbaine d’Ambovombe, s’inquiète de la rareté de la pluie cette année. « La pluie arrose principalement notre commune durant la saison fraîche. Cette année, elle se fait pourtant rare. S’il ne pleut pas assez, je crains que les habitants vivent le cauchemar de la famine de l’année dernière. La plupart des cinquante cinq mille sept cent soixante treize habitants n’ont pas les moyens d’acheter de la nourritures et vivent grâce à l’agriculture. Mais la sécheresse a détruit l’agriculture l’année dernière », a expliqué le Pds d’Ambovombe.

25 July 2015 Comments are off admin

Parti politique – ADN engage son combat dans le Betsiboka

Après la région du Vakinankaratra, c’est dans le Betsiboka que l’ADN implante ses fondations. Toujours à l’initiative de la population locale, l’objectif est la victoire de cette dernière, sa prise de responsabilité.

Tache d’huile. « La victoire est notre seule limite (…) Nous n’arrêterons qu’une fois la victoire pour la population acquise », avait déclaré Edgard Razafin¬dravahy, leader du parti Arche de la Nation (ADN), lors de l’officialisation de sa création dans la région du Vakinankaratra, dimanche à Antsirabe. Moins d’une semaine après, ses dires sont concrétisées par l’implantation du jeune parti politique dans la région du Betsi¬boka, officiellement jeudi.

« Le district de Tsaratanana est le pole économique de la région Betsiboka. Mais il est délaissé par l’État et semble parmi les endroits les plus démunis de Madagascar malgré ses nombreuses richesses », déplore le député Jaona Ratefiarivony, élu à Tsarata¬nana. Un taux d’insécurité record, avec des attaques et morts enregistrés presque quotidiennement. Des richesses comme l’or et le chrome, exploitées sans égard pour la population locale et sans retombées pour le district et la région.

Une route nationale RN 33a catastrophique, 9 heures de temps pour 90 kilomètres, « un calvaire », comme le qualifient les usagers, finit de dégoûter les habitants du district de Tsaratanàna.

Face à cette situation qui est considérée par les habitants comme le reflet de la défaillance de l’État, la population locale a décidé de prendre ses responsabilités. L’association Arche de Noé, déjà active dans le district de Tsaratanana et la région du Betsiboka a, ainsi, revendiqué sa mutation en parti politique, le parti Arche de la Nation.

« C’est à la population locale de résoudre les problèmes locaux, de défendre ses intérêts et sa richesse », soutient Edgard Razafindravahy, pour éveiller la prise de responsabilité de son auditoire lors d’un meeting et ensuite d’une réunion de parti.

Refondation
« Ayez de l’audace, prenez votre responsabilité », a déclaré Edgard Razafindravahy, lors de sa rencontre avec les militants ADN de Tsaratanana, jeudi. Surtout, face à l’incapacité d’un État au bord de la faillite, à subvenir aux besoins locaux et à résoudre ses problèmes. Avant la venue d’Edgard Razafindravahy, « cela fait vingt ans qu’aucune haute personnalité étatique, ou politique n’a visité le district », affirment d’une manière unanime les habitants du district.

Gagner la bataille pour le bien-être de chaque malga¬che est la finalité du combat mené par l’ADN. Cela passe, notamment, par la prise de responsabilité, l’émancipation de la population locale. Avoir pris l’initiative de créer un parti politique est le point de départ. « Le combat, nous allons le mener par la base. (…) l’échec de l’État s’explique par l’absence de contrat social. Nous nous allons élaborer ce contrat à partir de l’aspiration et des besoins de la base et non plus le contraire », ajoute-t-il. Une véritable refondation s’impose, a été dit à Tsaratanana.

Pour parvenir à la victoire, toutefois, « il faut s’organiser au sein d’un parti », recommande Edgard Razafin¬dravahy. Pour ses premiers pas, l’ADN compte dispenser des formations à ses membres, pour insuffler la valeur et la discipline du parti, « afin que les membres soient des exemples dans la société ».
Pour que l’adhésion au parti ne soit pas un sacrifice pour les membres. Mais aussi, pour préparer les membres à briguer des postes à responsabilités ou des mandats au niveau local notamment, pour matérialiser cette prise de responsabilité.

Edgard Razafindravahy souligne que « le parti appartient à ses membres. Ce sont ses membres qui font vivre le parti ». L’objectif de l’ADN n’est alors pas de renforcer une personnalité, mais de servir ses membres et la population. « Un pays ne peut pas être fort sans une population forte », martèle-t-il.

Le parti, néanmoins, compte aussi éduquer ses membres à collaborer et renforcer les dirigeants, locaux notamment. Car, « le développement ne peut pas se faire s’il n’y a pas de symbiose entre sa population et ses dirigeants », a ajouté Edgard Razafin¬dravahy, en rappelant son slogan « Tous ensemble nous vaincrons » et que « nous n’arrêterons qu’une fois la victoire de la population acquise ».

20 July 2015 Comments are off admin

Nouveau parti politique – L’ADN s’engage dans le défi contre la pauvreté

Un nouveau venu dans le paysage politique national, mais surtout régional. L’Arche de la Nation fait son entrée dans l’arène sous l’impulsion de la population et pour sa victoire.

La victoire est notre seule limite. Tel est le mot d’ordre du parti Arche de la Nation (ADN). N’ayant obtenu son récépissé d’existence du ministère de l’Inté¬rieur que jeudi, la nouvelle formation politique est, peut-être, un nouveau venu dans l’arène. Elle dispose d’un cheminement bien défini, dont l’objectif final est « la victoire » de chaque Malgache.

« Un pays ne peut pas être fort si sa population n’est pas forte », soutient Edgard Razafindravahy, chef de file de l’ADN. Tel est le sens de la victoire recherchée par le jeune parti: vaincre la pauvreté et parvenir au bien-être de tous les citoyens sans exception et renforcer ainsi la nation, la République et ses institutions. Pendant l’officialisation de la création de l’Arche de la Nation, l’ancien candidat à la présidentielle a ressorti son slogan de campagne, « ensemble nous allons vaincre ».

Bien que la formation politique porte les initiales de l’association Arche de Noé qui l’a soutenue durant les élections, Edgard Razafindravahy ne prétend pas en être le propriétaire ou le dépositaire. « Ce parti est né sur l’initiative et sous l’impulsion de la population de la base, de ceux qui m’ont suivi lors des élections et qui ont souhaité que le combat commencé à cette période, se poursuive et soit mené à terme. C’est-à-dire à la victoire de la population », explique-t-il.

Ayant vécu les différents événements qui ont secoué le pays, de 1972 à 2009, mais aussi riche de son parcours politique qui a débuté dans la commune rurale d’Ambohi¬malaza et a continué à la magistrature de la capitale en tant que Président de la délégation spéciale (PDS) de la ville d’Antananarivo, Edgard Razafindravahy souhaite partager son expérience. Dans la structure de l’ADN, il préfère, donc, parler de coordonnateur ou de guide, plutôt qu’avoir un statut de président. Par ailleurs, reconnaissant envers la société et les cieux de sa réussite professionnelle et sociale, il affirme pourtant « que je ne considèrerais pas ma réussite comme accomplie tant que, parmi mes concitoyens, il y en aura dans la misère ».

Nouveau contrat social
Une motivation qui le pousse dans ses actions et qu’il compte mettre en action à travers le parti ADN. Dimanche donc, a été officialisée l’existence du nouveau parti dans le Vakinan¬karatra. Une première pierre d’un édifice qui compte s’implanter dans les vingt-deux régions, mais toujours sous l’impulsion de la population locale.
« Car cela a toujours été la faiblesse des partis à Madagascar, ils sont voulus et créés par des personnalités qui ne cherchent qu’à jouir seuls des bénéfices », fustige Edgard Razafindravahy.

Initié par ses propres membres, comme le confirme Papa Charles, président du parti à Antsirabe, l’ADN aura alors comme priorité actuelle leur bien-être. Pour ses débuts, la formation politique dispensera à ses membres pour les valoriser, des formations, voire un enseignement sur diverses disciplines comme la politique et la gestion des affaires publiques.

« Il faut aussi que l’adhésion au parti apporte quelque chose aux membres et ne soit pas un sacrifice », indique Edgard Razafindravahy, dans son allocution devant les militants de l’ADN.
Les formations envisagées devront aussi les préparer à briguer le leadership local, à commencer par la présidence des fokontany. Partir de la base, mais viser aussi la commune, la région et « si tous les paramètres sont réunis », le leadership des affaires nationales sont dans les plans. L’ADN compte présenter un nouveau projet social, celui d’œuvrer réellement pour le bonheur de chacun.

« Quand la population prête son pouvoir à un parti, c’est pour œuvrer pour son bien-être. Mais jusqu’ici, aucun parti n’a respecté cette éthique, car tous ne cherchent qu’à assouvir leur propre intérêt », déplore le politicien Razafindravahy. Dans son combat, l’ADN compte ainsi, pallier cette inconscience. Pour ce faire, il n’envisage pas d’aller trop vite en besogne et veut d’abord faire de la mise en ordre et de la discipline dans ses rangs, une priorité.

L’Une des raisons qui font que sur l’échiquier politique, nul ne s’aligne comme partisan ou comme opposant. D’abord, comme le souligne Edgard Razafin¬dravahy, parce qu’il n’y a pas d’idée devant laquelle se dresser. Ensuite car toutes les entités politiques se bousculent pour être dans le giron du pouvoir, ce qui contribue à brouiller l’échiquier. L’objectif de l’ADN est néanmoins clair, combattre pour le bien-être de chacun, vaincre la pauvreté. « Nous n’arrêterons qu’une fois acquise la victoire pour la population », prévient Edgard Razafindravahy.